Issues Medit
Agriculture and water quality: new approaches to old problem
Medit, vol 9, n.2, (June 1998), pp. 19-25
Language: ENThe contribution of agriculture to surface and groundwater water pollution in developed countries can be substantial and is well documented. In developing countries which typically have little control over municipal and industrial effluents, and have water quality data programs that are not capable of differentiating between different types of pollution sources, the relative role of agriculture in water pollution is not known. This has serious implications for agricultural planning for national water resources policy formulation and implementation, and for national pollution abatement planning and investment. Decision-making, especially in data-poor environments, can now take advantage of new developments in: (1) water quality monitoring practices which, with institutional modernization of monitoring programmes, now make it possible to rethink and redesign data programmes, that are more focused, practical, efficient, produce more information with less data; and (2) Information Technology (IT) that offer new and cost-effective means for enhancing the efficiency of decision-making both for on and off-site management issues and for agricultural planning and investment purposes. Examples are presented of new IT tools for agricultural use that can greatly assist in the cost-effective transfer of knowledge and experience from developed to developing countries.
La contribution de l’agriculture à la pollution de surface et souterraine dans les pays développés peut être remarquable et bien documentée. Dans les pays en voie de développement qui ont un faible contrôle des effluents ménagers et industriel, et qui ont des programmes sur les données de la qualité de l’eau qui ne réussissent pas à différencier entre les différentes sources de pollution, le rôle relatif de l’agriculture dans la pollution de l’eau n’est pas connu. Ceci a d’as implications sérieuses pour la planification agricole, au niveau de formulation et mise en application des politiques des ressources en eau nationales ainsi que pour la planification et l’investissement pour la réduction de la pollution. La prise de décision, surtout dans les environnement qui ne disposent pas d’eau, peut à l’heure actuelle bénéficier des nouveaux développements dans : 1) les pratiques de monitorage de la qualité de l’eau qui, suite à la modernisation institutionnelle des programmes de monitorages, permettent aujourd’hui, de réfléchir et redessiner les programmes de données les plus intéressants, pratiques, efficaces et qui produisent plus d’information avec moins de données ; et (2) la Technologie de l’Information qui offre de nouveaux moyens rentables pour améliorer l’efficience de la prise de décision, pour la gestion tant des problèmes sur le site qu’hors site et pour la planification agricole et les investissements. Ici on présente des exemples de nouveaux outils IT pour l’agriculture que peuvent être très utiles dans le transfer rentable de connaissance et d’expériences des pays développés vers les pays en développement.
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