Issues Medit
Economics of pig farming in Greece
Medit, vol 10, n.4, (December 1999), pp. 21-24
Language: ENIn this paper an attempt is made to present the economics of pig farming based on the reproductive data of 11,270 sows from 42 pig farms and three Research Stations of Animal Husbandry and the physical and economic data of 18 modern and well organized pig farms from the regions with the biggest pork production in our country. The economics of pig farming in Greece is not satisfactory when the number of piglets produced and fattened is 15 and lower per sow per year, since it is impossible for gross return to cover production costs. On the other hand, a pig farm which produces and fattens 18 piglets per sow per year is viable but not competitive. On the contrary, pig farms which produce and fatten more than 18 piglets per sow per year are not only viable but also competitive. It is believed that the viability and competitiveness of the Greek pig farming must be based on the increase of the productivity of sows up to at least 20 pigs fattened per year, the decrease of the feed required per piglet of 25 kgs 1.w. to 90 kgs and its price to 25 ECU per 100 kgs, the increase of the average daily gain over 700 grams, the decrease of the feed conversion rate under 2.80 and the decrease of the interest rate of short and long term loans under 10 per cent.
Ce travail porte sur l'économie de l'élevage porcin basée sur les données de reproduction de 11270 truies provenant de 42 exploitations d 'élevage porcin et trois Stations de Recherche de l'Exploitation du Bétail ainsi que sur les données physiques et économiques de 18 exploitations d 'élevage porcin des régions ayant la plus grande production de porcins en Grèce. L'économie de l'élevage porcin en Grèce n 'est pas satisfaisante lorsque le nombre de porcelets produits et engraisses est inferieur ou égal à 15 par truie par an, car il est impossible de couvrir les couts de production par les bénéfices bruts. D'autre part, une exploitation de porcins qui produit et engraisse 18 porcelets par truie par an est viable mais non compétitive. Au contraire, les exploitations de l'élevage porcin qui produisent et engraissent plus de 18 porcelets par truie par an sont viables et compétitives aussi. On est convaincu que la viabilité et la compétitivité de l'élevage porcin grec doivent être basées sur l'augmentation de la productivité des truies jusqu’a 20 porcs au moins engraisses par an, sur la diminution de fourrage requis par porcelet de 25 kilos poids vif à 90 kg et son prix à 25 ECU par 100 kilos, sur l'augmentation du gain moyen journalier au-dessous de 700 grammes, sur la diminution du taux d'utilisation du fourrage au-dessous de 2,80 et sur la diminution du taux d'intérêt des prêts à court et long terme inferieur à 10%.
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